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moustiers5.jpgOutre sa notoriété pour la fabrication de la faïence, à Moustiers Ste Marie il ne faut pas râter de se rendre sur les hauteurs de la ville, à la chapelle Notre-Dame de Beauvoir.

La première mention connue de la chapelle désignée d’abord sous le nom de Notre-Dame d’Entre-Roches remonte au 11e siècle. La nef actuelle de style roman peut dater du 13e siècle. Les deux dernières travées et le chœur, de style gothique, datent du 16e siècle, comme le portail de bois finement sculpté et le porche couvert de tuiles vernissées. La renommée de la chapelle se répandit à partir du 12e siècle, surtout en raison des miracles de la Vierge. Le pèlerinage à Notre-Dame fut rapidement encouragé par l’Eglise, sui accordait ou vendait des indulgences aux pèlerins.

Au 17e siècle, des pèlerinages prirent une forme particulière. On amenait ici les enfants morts-nés pour les faire ressusciter quelques instants, le temps de les baptiser. Après quoi, il était possible de les faire inhumer religieusement dans l’enceinte du cimetière assurant ainsi le salut à leur âme. C’est ce que l’on appelle les suscitations d’enfants. Les chapelles reconnues pour ce miracle sont désignées sous le nom de chapelles à répit. Notre-Dame de Beauvoir est l’une des rares de Provence.

Le petit pont de la chapelle.

Les pèlerins qui se rendaient à la chapelle franchissaient le ravin sur une passerelle de bois jusqu’en 1783, année où la communauté religieuse fit édifier ce petit pont en dos d’âne. L’une des pierres centrales du parapet méridional contient d’ailleurs ce millésime et les armes de la ville. Sur sa face extérieure se trouve une niche destinée à recevoir une statue de la Vierge. Une grotte qui s ‘ouvrait au-dessus de Notre-Dame venait de s’effondrer. Ses pierres ont été utilisées pour construire le pont, les faîenciers de la ville ont fourni la chaux nécessaire. Les bijoux de la Vierge ont été vendus pour payer le reste des matériaux et des frais. Le rocher sur lequel coule le torrent a été largement taillé en glacis car il arrivait que l’eau inonde le tablier du point lors de violents orages. Une plaque gravée se voit  entre deux cyprès, sur la paroi rocheuse en amont du pont. Apposée en 1920, elle contient un passage de l’ouvrage de Frédéric Mistral écrit en 1885 et intitulé « Les lies d’Or », qui conte l’aventure du chevalier de Blacas, prisonnier des sarrasin lors de l’une des croisades.

Quand on se rend à la chapelle, on ne peut ignorer de croiser l’oratoire de Blacas. Cet oratoire est l’un des plus anciens de toute la Provence. Il aurait été érigé au 14e siècle. Son allure, sa matière ( il est en tuf) le distinguent parmi tous ceux que l’on rencontre sur le chemin de la chapelle. On suppose qu’il constitue l’ultime élément d’un chemin de croix qui menait autrefois à Notre-Dame de Beauvoir. Les oratoires ne nommaient « plion, pierron » en provençal. Ils présentaient souvent, sur la face tournée vers le chemin, une excavation centrale dans laquelle une coupelle contenait de l’eau bénite. C’est ici une belle ouverture tréfilée. L’étoile à seize rais placée en son cœur est celle qui est contenue dans les armes des Blacas, co-seigneurs de Moustiers, qui semblent être à l’origine de sa construction. La grande croix qui la surmonte supportait autrefois un coq métallique. L’entablement de marbre enchâssé dans le parapet qui constitue la base de cet oratoire est utilisé en réemploi. Il s’agit manifestement d’un élément de décor romain qui fut porté là lors de son érection.

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moustiers5.jpgOutre sa notoriété pour la fabrication de la faïence, à Moustiers Ste Marie il ne faut pas râter de se rendre sur les hauteurs de la ville, à la chapelle Notre-Dame de Beauvoir.

La première mention connue de la chapelle désignée d’abord sous le nom de Notre-Dame d’Entre-Roches remonte au 11e siècle. La nef actuelle de style roman peut dater du 13e siècle. Les deux dernières travées et le chœur, de style gothique, datent du 16e siècle, comme le portail de bois finement sculpté et le porche couvert de tuiles vernissées. La renommée de la chapelle se répandit à partir du 12e siècle, surtout en raison des miracles de la Vierge. Le pèlerinage à Notre-Dame fut rapidement encouragé par l’Eglise, sui accordait ou vendait des indulgences aux pèlerins.

Au 17e siècle, des pèlerinages prirent une forme particulière. On amenait ici les enfants morts-nés pour les faire ressusciter quelques instants, le temps de les baptiser. Après quoi, il était possible de les faire inhumer religieusement dans l’enceinte du cimetière assurant ainsi le salut à leur âme. C’est ce que l’on appelle les suscitations d’enfants. Les chapelles reconnues pour ce miracle sont désignées sous le nom de chapelles à répit. Notre-Dame de Beauvoir est l’une des rares de Provence.

Le petit pont de la chapelle.

Les pèlerins qui se rendaient à la chapelle franchissaient le ravin sur une passerelle de bois jusqu’en 1783, année où la communauté religieuse fit édifier ce petit pont en dos d’âne. L’une des pierres centrales du parapet méridional contient d’ailleurs ce millésime et les armes de la ville. Sur sa face extérieure se trouve une niche destinée à recevoir une statue de la Vierge. Une grotte qui s ‘ouvrait au-dessus de Notre-Dame venait de s’effondrer. Ses pierres ont été utilisées pour construire le pont, les faîenciers de la ville ont fourni la chaux nécessaire. Les bijoux de la Vierge ont été vendus pour payer le reste des matériaux et des frais. Le rocher sur lequel coule le torrent a été largement taillé en glacis car il arrivait que l’eau inonde le tablier du point lors de violents orages. Une plaque gravée se voit  entre deux cyprès, sur la paroi rocheuse en amont du pont. Apposée en 1920, elle contient un passage de l’ouvrage de Frédéric Mistral écrit en 1885 et intitulé « Les lies d’Or », qui conte l’aventure du chevalier de Blacas, prisonnier des sarrasin lors de l’une des croisades.

Quand on se rend à la chapelle, on ne peut ignorer de croiser l’oratoire de Blacas. Cet oratoire est l’un des plus anciens de toute la Provence. Il aurait été érigé au 14e siècle. Son allure, sa matière ( il est en tuf) le distinguent parmi tous ceux que l’on rencontre sur le chemin de la chapelle. On suppose qu’il constitue l’ultime élément d’un chemin de croix qui menait autrefois à Notre-Dame de Beauvoir. Les oratoires ne nommaient « plion, pierron » en provençal. Ils présentaient souvent, sur la face tournée vers le chemin, une excavation centrale dans laquelle une coupelle contenait de l’eau bénite. C’est ici une belle ouverture tréfilée. L’étoile à seize rais placée en son cœur est celle qui est contenue dans les armes des Blacas, co-seigneurs de Moustiers, qui semblent être à l’origine de sa construction. La grande croix qui la surmonte supportait autrefois un coq métallique. L’entablement de marbre enchâssé dans le parapet qui constitue la base de cet oratoire est utilisé en réemploi. Il s’agit manifestement d’un élément de décor romain qui fut porté là lors de son érection.

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L'histoire de la Fanny. - le 15/07/2022 @ 14:00

boule.jpgNe vous y fiez pas !. embrasser Fanny ou baiser Fanny n’est pas une récompense ( enfin, tout dépend toujours de la Fanny !). Cela veut dire perdre une partie sans avoir marqué un seul point. On emploie souvent l’expression d’être Fanny. Cette tradition serait originaire non pas comme on pourrait le penser du sud de la France mais de Savoie. La Fanny originelle aurait été serveuse au café de Grand-Temps, juste avant la Première Guerre Mondiale. La légende dit que, par gentillesse, elle se laissait embrasser par les clients qui venaient de perdre aux boules sans marquer le moindre petit point. La bise se faisait alors sur la joue. Jusqu’au jour où, toujours selon la légende, le maire du village perdit à son tour et vint quémander sa récompense !. Fanny avait-elle un grief contre lui et voulut-elle l’humilier en public ?. Nul ne le sait. Ce qui est sûr, c’est qu’elle grimpa sur une chaise, releva ses jupes et lui tendit….ses fesses !. Le maire ne se démonta pas. Moins d’une seconde plus tard, deux baisers retentissants résonnaient dans le café. C’était ainsi le début d’une longue tradition….


Le problème, c’est que les joueurs n’ont pas toujours une Fanny sous la main. Ou plus exactement une Fanny qui accepterait de dévoiler ses fesses en public. C’est pourquoi, dans tous les lieux où l’on joue aux boules, une place d’honneur est réservée à une Fanny postiche. Les malheureux perdants sont alors obligés de venir embrasser en public les fesses toujours rebondies d’une Fanny représentée sous forme de tableau, de poterie ou de sculptures. Ainsi, la récompense est devenue l’humiliation suprême pour tout joueur de boules. Coincidence ?. L’expression « être capot » qui, à la belote, signifie ne pas avoir marqué un seul point dans une mène, viendrait d’une expression provençale qui veut tout simplement dire : « faire baiser le cul » !. Comme quoi, en Provence, les boules et la belote se rejoignent toujours…

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boule.jpgNe vous y fiez pas !. embrasser Fanny ou baiser Fanny n’est pas une récompense ( enfin, tout dépend toujours de la Fanny !). Cela veut dire perdre une partie sans avoir marqué un seul point. On emploie souvent l’expression d’être Fanny. Cette tradition serait originaire non pas comme on pourrait le penser du sud de la France mais de Savoie. La Fanny originelle aurait été serveuse au café de Grand-Temps, juste avant la Première Guerre Mondiale. La légende dit que, par gentillesse, elle se laissait embrasser par les clients qui venaient de perdre aux boules sans marquer le moindre petit point. La bise se faisait alors sur la joue. Jusqu’au jour où, toujours selon la légende, le maire du village perdit à son tour et vint quémander sa récompense !. Fanny avait-elle un grief contre lui et voulut-elle l’humilier en public ?. Nul ne le sait. Ce qui est sûr, c’est qu’elle grimpa sur une chaise, releva ses jupes et lui tendit….ses fesses !. Le maire ne se démonta pas. Moins d’une seconde plus tard, deux baisers retentissants résonnaient dans le café. C’était ainsi le début d’une longue tradition….


Le problème, c’est que les joueurs n’ont pas toujours une Fanny sous la main. Ou plus exactement une Fanny qui accepterait de dévoiler ses fesses en public. C’est pourquoi, dans tous les lieux où l’on joue aux boules, une place d’honneur est réservée à une Fanny postiche. Les malheureux perdants sont alors obligés de venir embrasser en public les fesses toujours rebondies d’une Fanny représentée sous forme de tableau, de poterie ou de sculptures. Ainsi, la récompense est devenue l’humiliation suprême pour tout joueur de boules. Coincidence ?. L’expression « être capot » qui, à la belote, signifie ne pas avoir marqué un seul point dans une mène, viendrait d’une expression provençale qui veut tout simplement dire : « faire baiser le cul » !. Comme quoi, en Provence, les boules et la belote se rejoignent toujours…

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petanque.jpgLa pétanque dans le sud de la France est à la Provence, ce que le rubgy est au SO ; une sorte d’institution. Mais de quand date t-elle ?.

La pétanque est avant tout considéré comme un sport de boules. Son nom vient de l’expression « pés tanqués », qui veut dire pieds joints. Le jeu consiste à lancer des boules de pétanque, pour atteindre le cochonnet. Le gagnant est celui qui a lancé la boule le plus près du cochonnet, tout comme les boules classiques. Le jeu de boules est très ancien. Les archéologues ont ainsi trouvé des traces de ce jeu, en Egypte ancienne, en Grèce du temps d’Alexandre le Grand et chez les Romains. Ce sont ces derniers qui ont introduit le jeu de boules en Gaule ( la France), à l’époque de la conquête de Massilia ( Marseille) et de Lugdunum (Lyon). Au départ, c’était un jeu de Nobles, mais il est devenu populaire avec la Révolution Française. En 1850, le jeu de boules est devenu un sport officiel. La Fédération Française de Pétanque et du Jeu Provençal qui regroupent tous les pratiquants de ce jeu existe depuis 1945. Cette Fédération organise des championnats et attribue des prix. La pétanque est présente en France, mais aussi dans d’autres pays comme Israël. Il faut aussi savoir qu’il existe un grand nombre de jeux de boules, en France comme à l’étranger. Au fil du temps, on retrouve plusieurs jeux d’adresse pratiqués de par le monde avec des boules en pierre, en argile ou en bois ou soumis à des règles différentes de celles de la pétanque, tels le jeu lyonnais, la boccia, le green bowis, etc...

A retenir : la pétanque se joue sur un terrain non délimité avec des boules de 900 grammes maximum en 13 ou 15 points. Les boules doivent être lancées dans un cercle de 33 à 50 cm. Les pieds des joueurs doivent être posés à l’intérieur du cercle et ne peuvent en sortir que lorsque la boule a touché le sol.

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petanque.jpgLa pétanque dans le sud de la France est à la Provence, ce que le rubgy est au SO ; une sorte d’institution. Mais de quand date t-elle ?.

La pétanque est avant tout considéré comme un sport de boules. Son nom vient de l’expression « pés tanqués », qui veut dire pieds joints. Le jeu consiste à lancer des boules de pétanque, pour atteindre le cochonnet. Le gagnant est celui qui a lancé la boule le plus près du cochonnet, tout comme les boules classiques. Le jeu de boules est très ancien. Les archéologues ont ainsi trouvé des traces de ce jeu, en Egypte ancienne, en Grèce du temps d’Alexandre le Grand et chez les Romains. Ce sont ces derniers qui ont introduit le jeu de boules en Gaule ( la France), à l’époque de la conquête de Massilia ( Marseille) et de Lugdunum (Lyon). Au départ, c’était un jeu de Nobles, mais il est devenu populaire avec la Révolution Française. En 1850, le jeu de boules est devenu un sport officiel. La Fédération Française de Pétanque et du Jeu Provençal qui regroupent tous les pratiquants de ce jeu existe depuis 1945. Cette Fédération organise des championnats et attribue des prix. La pétanque est présente en France, mais aussi dans d’autres pays comme Israël. Il faut aussi savoir qu’il existe un grand nombre de jeux de boules, en France comme à l’étranger. Au fil du temps, on retrouve plusieurs jeux d’adresse pratiqués de par le monde avec des boules en pierre, en argile ou en bois ou soumis à des règles différentes de celles de la pétanque, tels le jeu lyonnais, la boccia, le green bowis, etc...

A retenir : la pétanque se joue sur un terrain non délimité avec des boules de 900 grammes maximum en 13 ou 15 points. Les boules doivent être lancées dans un cercle de 33 à 50 cm. Les pieds des joueurs doivent être posés à l’intérieur du cercle et ne peuvent en sortir que lorsque la boule a touché le sol.

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FB

Il n'est pas toujours évident de trouver un lieu pour faire une pause fraicheur en milieu rural tout particulièrement. Et encore plus quand nous sommes dans une région très peu peuplée comme l'Aveyron et où les villages souvent petits sont assez dispersés les uns des autres.

Et lors de nos pérégrinations en ce mois de juin en Aubrac, Photorandos a fait une halte au relais de Prinsuejols. Il fait à la fois restaurant et bar.

Pour notre part, nous souhaitions trouver un lieu offrant une terrasse pour pouvoir prendre notre casse-croûte et bien évidemment en contre-partie consommer une boisson.

Et c'est avec plaisir que nous avons pu tester ce relais. L'accueil par des dames nous a été très positif où il n'y avait aucun souci pour envahir la terrasse couverte qui borde le restaurant.

Cette terrasse à l'ombre permet ainsi de pouvoir bénéficier d'un bel abri pour une pause boissons.

Outre le bel accueil que nous avons eu, le prix des boissons a retenu notre attention. Comptez 2,50 euros pour une bière; pas cher du tout même en plein Aubrac.

Et c'est tout naturellement qu'à la fin de notre séjour, nous avions décidé de nous y arrêter pour notre retour avant de regagner nos terres aindinoises.

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FB

Il n'est pas toujours évident de trouver un lieu pour faire une pause fraicheur en milieu rural tout particulièrement. Et encore plus quand nous sommes dans une région très peu peuplée comme l'Aveyron et où les villages souvent petits sont assez dispersés les uns des autres.

Et lors de nos pérégrinations en ce mois de juin en Aubrac, Photorandos a fait une halte au relais de Prinsuejols. Il fait à la fois restaurant et bar.

Pour notre part, nous souhaitions trouver un lieu offrant une terrasse pour pouvoir prendre notre casse-croûte et bien évidemment en contre-partie consommer une boisson.

Et c'est avec plaisir que nous avons pu tester ce relais. L'accueil par des dames nous a été très positif où il n'y avait aucun souci pour envahir la terrasse couverte qui borde le restaurant.

Cette terrasse à l'ombre permet ainsi de pouvoir bénéficier d'un bel abri pour une pause boissons.

Outre le bel accueil que nous avons eu, le prix des boissons a retenu notre attention. Comptez 2,50 euros pour une bière; pas cher du tout même en plein Aubrac.

Et c'est tout naturellement qu'à la fin de notre séjour, nous avions décidé de nous y arrêter pour notre retour avant de regagner nos terres aindinoises.

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FBLa Charbonnière, lieu-dit le Signal.

Le point culminant de la commune d'Hostiaz dans la vallée de l'Albarine, à 1066 m d'altitude offre un point de vue superbe sur le haut Bugey mais pas uniquement. ce lieu-dit est dénommé le Signal. Il permet en effet d'apercevoir quand les conditions climatiques le permettent le Mont Blanc.

A nos pieds de ce sommet la plaine de Lavant à l'est et au sud la forêt domaniale très fournie de Jailloux. Elle était déjà présente à l'poque de Louis XI au 15e siècle. Elle fournissait les mâts des navires de la Royale de Colbert au 17e siècle.

Le panorama est représentatif du Jura méridional avec l'alignement parallèle et resseré des crêts, des monts et des vals. Le col de la Lèbe donne l'accès au Valromey et au Grand Colombier qui culmine à 1525 m d'altitude.

Les lointains offrent de beaux développements sur la chaîne des Alpes avec la pyramide sommitale du Mont Blanc.

Ce Signal est un lieu idéal pour s' y promener en venant d'Hostiaz voire de Tenay située plus bas. Une table de pique-nique est installée, permettant ainsi de faire une sympathique pose repas.

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FBLa Charbonnière, lieu-dit le Signal.

Le point culminant de la commune d'Hostiaz dans la vallée de l'Albarine, à 1066 m d'altitude offre un point de vue superbe sur le haut Bugey mais pas uniquement. ce lieu-dit est dénommé le Signal. Il permet en effet d'apercevoir quand les conditions climatiques le permettent le Mont Blanc.

A nos pieds de ce sommet la plaine de Lavant à l'est et au sud la forêt domaniale très fournie de Jailloux. Elle était déjà présente à l'poque de Louis XI au 15e siècle. Elle fournissait les mâts des navires de la Royale de Colbert au 17e siècle.

Le panorama est représentatif du Jura méridional avec l'alignement parallèle et resseré des crêts, des monts et des vals. Le col de la Lèbe donne l'accès au Valromey et au Grand Colombier qui culmine à 1525 m d'altitude.

Les lointains offrent de beaux développements sur la chaîne des Alpes avec la pyramide sommitale du Mont Blanc.

Ce Signal est un lieu idéal pour s' y promener en venant d'Hostiaz voire de Tenay située plus bas. Une table de pique-nique est installée, permettant ainsi de faire une sympathique pose repas.

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